http://ylvopurg5nzfq5n73kprotytazvaxtbmikkzrtleqghyiwrruq4cwqid.onion/infos-locales/article/cine-club-d-antigone-lamerica-de-gianni-amelio-607
Car au travers d’une peinture acerbe de l’Albanie, à peine sortie de l’enfermement totalitaire pour tomber dans un effroyable désordre de faim, de misère et de turpitudes, sur laquelle fondent les rapacent de l’import-export, le film est comme un chant, tantôt cruellement réaliste, tantôt d’un poignant lyrisme, à la mémoire des peuples migrants en quête de l’eldorado. Les dernières images, d’un incomparable beauté, qui montrent le paquebot de l’exode où les gens sont parqués, emmêlent...