http://z2z37bzzoq7g6uzbrrew6ooy6v64qmlah2p75tsyzkufsrx5adu5daad.onion/spip.php?article1191=
Ces individus, qui ramènent "l’Homme", réifié, à des propriétés essentielles dites inaliénables, ne font au fond pas la différence entre l’humain, qui, a priori, jouit pour jouir, et le vivant non-humain, qui ne développe pas spécifiquement un art érotique, et dont les copulations ont le plus souvent des visées biologiques (survie de l’espèce). Il s’agit là d’un judéo-christianisme paradoxal, qui finit par nier la spécificité de l’humain (là où tout judéo-chrétien aime pourtant à rappeler...